Tout un environnement inspirant...

Jean-Pierre Fouque


Est un peintre autodidacte.


Son enfance est bercée par les dessins animés : Walt Disney, mais surtout Tex Avery qu'il affectionne particulièrement pour son rythme et son humour grinçant.


Son rêve étant d'en réaliser plus tard .


Enfant rêveur et solitaire il s'évade par l'intermédiaire du papier et du crayon. Lorsqu’il ne dessine pas des personnages de dessins animés, il croque des paysages.

Plus tard il se met à la peinture et décide de faire les Beaux Art mais, ses parents jugent l'orientation trop aléatoire et donc il continue sa scolarité sans grand succès au demeurant.


Après une longue période sans toucher ni crayons, ni pinceaux, pendant laquelle il fait la connaissance d'Olivier Lépine, attribuant les bourses aux jeunes artistes peintres.


Intrigué, il lui demande sur quels critères il se base pour attribuer une bourse. Monsieur Lépine lui rétorque neutre : " La sincérité jeune homme."



Plus tard encore, il fait la rencontre d'un peintre Alain Capitaneo, avec qui il commencera à saisir tout le sens de la réponse que lui avait donné quelques années auparavant Olivier Lépine.


C'est lui qui lui redonnera le goût de travailler par le biais d'un champ d'investigation, pour lui à ce jour inconnu.


L'abstrait.


C'est là qu'il va réellement pouvoir donner libre cours à son imaginaire. D'aucun diront que sa peinture est tourmentée, je dirais plus simplement qu'elle vit.

Et qu'au-delà de ses nuances, et selon les angles et les lumières, il nous apparaît des personnages, des visages, comme incrustés dans la roche, ou encore, dans d'autres de ses toiles, un peu comme des superpositions de vieilles affiches d'où surgiraient quelques fantômes.


Mise à part cette activité, il est acteur, metteur en scène, formateur d'acteur, auteur de pièces de théâtre et de scénarii.

Écrit quelques textes que certains qualifient de poétique mais lui s'en défend car dit-il avec un léger sourire mi-figue mi-raisin :


"La poésie est une sphère vers laquelle je tends, donc… Que je me contente d'effleurer..."

nnnnnn «Comme une femme sublime, dans toute son essence. Un rêve que l'on se contente de rêver réalité... »



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