Il ne faut pas confondre :

Esthétique & Beau.

L’esthétique flatte.

Le beau lui...

Est réellement le reflet de l’âme.

Donc …

Pas toujours flatteur.

Information :

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Bonne visite et n'hésitez pas à me laissez vos ressentis.


Jean-Pierre Fouque

Il était parti pour l'Afrique...

TOTEM I

"Tribal dancing"

55 X 46

Acrylique sur toile

400 Euros



TOTEM II

"Apocaliptica"


61 X 46

Acrylique sur toile

500 Euros


TOTEM III

"Le souffle"


61 X 46

Acrylique

500 Euros


TOTEM IV

"The beast"

61 X 46

Acrylique sur toile

500 Euros


TOTEM V

"Le verbe"

61 X 46

Acrylique sur toile

500 Euros


TOTEM VI

"Le regard"

61 X 46

Acrylique sur toile

500 Euros


TOTEM VII

"Le cri"


61 X 46

Acrylique sur toile

500 Euros



-AFRI-K-

AFRI-K I

"Hibou"


41 X 29,5

Pastel huile support papier

50 Euros


AFRI-K II

"Totem"


41 X 29,5

Pastel huile support papier

50 Euros


AFRI-K III

"Gourmandise"

41 X 29,5

Pastel huile support papier

50 Euros


AFRI-K IV

"Gourou"

41 X 29,5

Pastel huile support papier

50 Euros


AFRI-K V

"m m"

41 X 29,5

Pastel huile support papier

50 Euros


AFRI-K VI

"Coktail luz"

41 X 29,5

Pastel huile support papier

50 Euros


AFRI-K VII

"Paris by night"


41 X 29,5

Pastel huile support papier

50 Euros


AFRI-K VIII

"Via lactea"

41 X 29,5

Pastel huile support papier

50 Euros


AFRI-K IX

"Welcome to circus wodoo"

41 X 29,5

Pastel huile support papier

50 Euros


AFRI-K X

"Gonoaloso"

41 X 29,5

Pastel huile support papier

50 Euros


AFRI-K XI

"Big nose guru"

41 X 29,5

Pastel huile support papier

50 Euros


AFRI-K XII

"La balle et la bête"

41 X 29,5

Pastel huile support papier

50 Euros


AFRI-K XIII

"Clin d'oeil"

41 X 29,5

Pastel huile support papier

50 Euros


AFRI-K XIV

"Bstrat"

41 X 29,5

Pastel huile support papier

50 Euros


AFRI-K XV

"Paris"

41 X 29,5

Pastel huile support papier

50 Euros


AFRI-K XVI

"Storm"

41 X 29,5

Pastel huile support papier

50 Euros





Ah ouais effectivement... Là, y'a d'la surface !



Bon, que choisir ?...



Un peu débordé là...



T'sais qu't'as d'beaux yeux !



Putain l'art... C'est douloureux !

De Dieu mon dos !





Voilà ! Bon voyons ça un peu en bas, ça repose...

Là.... Où j'en suis, j'en sais plus rien ?

Bon allons-y, on verra a.près.

D'habitude ça donne, ça donne.

Y pas d'raison que ça n'le fass'pas cett' fois...

Ouais mais là c'est grand.

C'est même très grand nom de dieu !


Bon, voyons voir un peu en haut !

Chevelure or not chevelure ?

Là est le pinceau.

Donc cherch'pas

Et laisse aller

Laisse aller t'es gentil !

Mais où ?

Lâch'tout !

Toi tu me lâches

T'ES GENTIL !


Putain faut qu'jmassoie, j'en peu plus !...

Mais pas trop longtemps, sinon j'me relèv'plus.

Ça donn'quoi en bas chez toi ?

T'inquièt'voisin,

J'moccupe d'tes organ'vitaux.


Si j'pouvais...

J't'facturer une bouche à la Io

Et son nez

Ah son nez !

J'vais t'faire une confidence

Sans son nez

Elle n'existerait pas

Mais bon là j'garantie rien

T'sais, j'coutume plutôt

Dans l'abstract.

Quand on est arrivé

Chais pas c'qui c'est passé

Chu resté sourd-dingue trois mois

Dingue encore...

Ça m'change pas

Mais sourd alors là...

Peut être une question

D'mauvaise dépressurisation

À moins que ce soit

L'changement d'vitesse

Tu sais l'espac'temps

Ou que'qu'chose comm'ça.

Toujours est-il que...

Plus un son

Plus un bruit...

J'voyais ma Io

Doux yeux

Lèvres pulpeuses

J'entendais que des...

Dou... T... Drrr... Cou.

Moi sitôt en alerte au bisous

Je m'penchais sur son coup

Mais là, face à l'exhorbitance

D'ses magnifiqus' yeux noirs

j'me disais :

Il n'est pas question d'pitence

Et j'men allais chercher un mich

Oui, là bas ça c'prononce Mitch

Quoi qu'étant écrit Mic

Ya qu'a s'rappeler d'sanwich

S'en est un

Donc m'en allais chercher un mic

Chez la vendeuse spécialisée

Où je donnais libre court

À de nouvelles investigations

Sur l'art du mime

Car ne connaissant pas la langue

Et... Étant sourd.


La vendeuse spécialiste

Se mettant au diapason...

Me mimait bien sûr, les milles

Et une manières et préparations

Du fameux mic.

Excellent au demeurant.

Ci fait, je m'en retournais

Clopin clopan sur le chemin de la casa

Oui... Maison se dit casa là bas.

J’ai toujours aimé les langues

Donc papilles encore frémissantes

Et ventre souriant

Je franchissait sans bruit bien entendu (si j’ose dire.)

Allègrement le pas de la porte familiale

Où je retrouvais la Io de mon cœur

Ayant préparé un plat de Sarmale

Qui me pria de manière…

Un peu criée je dois dire.

Mais normal…

Vu ma situation oriculaire

De passer à table


Mon ventre à sourit lui dis-je

Je ne voudrait pas qu’il éclate de rire

Je vous laiss'imaginer la réaction de ma Io

Pour la deuxième fois de cette…

Belle journée

Car il faut tout d'même le souligner

Donc pour la deuxième fois

Exhorbitance de ses magnifiqus' yeux noirs

Et cett'fois j'n’ai pas bien compris


C’était du :


PiS DDD M...SSSS

FOUQ… TI Mmmm TTT Ahhhhh !!!

Enfin mon incompréhension

Étant telle

Que j'retournais à ma toile

Jusqu’à épuisement total…

Il s’agissait là d’une journée

Parmi tant d’autres

D’un romantisme effréné.


Oui effréné mes amis...


Mais parfois c'est lourd...



Elle est pas méchante la petite. Elle a bon fond.



Fumons, fumons...



Pas vraiment satisfaisant

Qu'est-ce que t'en dis ?


nnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnJ'TE PARLE PLUS !

NNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNU MAI VORBESC CU TINE ! NNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNN


NNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNDUTE DRACU !!!

nnnnnnnnnnnnnnAh bon ...

nnnnnnnnnnJ'vai chercher un mic.

nnnnnnnnnnnnT'en veux un ???...


J'vous l'avez dit...

Effréné !

...Le romantisme...

That's the life my friend !!!

No Limit !



...Le pas vraiment satisfaisant, a viré vinaigre.

Et il est arrivé chez lui.

Donc, remettant non cent fois mais une deuxième, car no limit, no limit, j’veux bien mais dans d’autres domaines…

Je me suis saisi rageusement de mes outils favoris, à savoir couteaux, spatules, truelles et m’attaquais une nouvelle fois à cette foutue toile afin de la faire disparaître, à l’abstraire.

Car il n’y a que là que je puisse sorrtir quelque chose.


Au diable Afrique. Dute Dracu ! Comme le dit si savoureusement ma Io avec sa pudeur enfantine qui résonne à mes oreilles de vieil ours.


La toile que vous voyez ci-dessus n’est pas celle dont je vais vous parler mais, un détail d’une autre qui a été faite dans le même état, si je puis dire. Malheureusement, je n’ai pas de photo de celle dont je vais vous parler, qui a remplacée la toile Africaine sur grand format.


Donc, comme bizarrement, là, pas de fatigue , rien.

Plus de périmètre

Plus d’espace

Un immense champ où, aller je ne sais ?…

Des couleurs que j’envoie, qui se battent ou qui font l’amour.

Des vibrations

Des chaleurs

Le temps n’existe plus et…

Je suis dans un état second.


Io mon amour je sais que tu es fatiguée, va te coucher.


Bon ça je l’invente un peu pour le romantisme de mon histoire. Ma Io ce soir là est allée se coucher sans dire mot. (Quoiqu’il en soit dans ma semi surdité (oui mon état entre-temps c’était légèrement amélioré grâce à des exercices de respiration de mon invention.)

Où ne l’aurais-je pas entendu, tendu que j’étais, sans réflexion aucune.



Le couteau, la spatule ou la truelle, sont très sexuels, cela me convient mieux que les pinceaux. N’en déplaise aux psys à deux balles. Quoiqu’il en soit soit, si l’on va par là, le pinceau aussi est très phallique comme symbole.

Donc… Étant donné que le sexe est.. La vie. Et que la vie c’est de s’éclater, moi ce soir là, que dis-je ce soir là ? Cette nuit là, je me suis éclaté avec mes couteaux, spatules, truelles, tel un psychopathe dans un espace no limit ! Sans cette fois me poser la question de savoir où j’allais. Je grattais, je frottais,. Comme je le disais plus haut, les couleurs, les épaisseurs se confrontaient et par moment à l’issu d’un conflit ou pas, se mariaient


Une personne, à la vision de cette toile, à eut cette réflexion plutôt amusante : Confiant sur un ton entendu et légèrement doctoral à ma Io, que ce qui apparaissait sur le tableau n’était autre que l’expression de ma libido.


J’avais envie de lui glisser aimablement : Ne vous êtes vous pas poser la question de savoir si votre interprétation n’est autre que la projection de votre libido personnelle ? Mais bon, mon vocabulaire dans la langue n’étant que rudimentaire et habitué à ce genre de réflexion par ce genre de pseudo intellectuel. Je me tu et feignis l’incompréhension.


Ben oui chacun voit ce qu’il veut bien voir dans une œuvre abstraite. D’autant que dans le cas de ce charmant jeune homme, il se trouve qu’il avait une formation "probablement basique" de psychologie.


À vos souhait jeune homme ! Désirez-vous un kleenex ?


Bien mais passons sur l’anecdote du bog dan'moi ton avis.


Et revenons-en à cette nuit, cette fameuse nuit où je l’ai joué "conective" avec ce qui ne pouvait l’être.. Ah la vibration mes amis ! La vibration ! Cela n’est pas un vain mot. Mais pour cela, il faut être ailleurs. Dans un ailleurs dont le mot doit être effacé de sa conceptuelle. Et là mes amis, ça vibre... De chaleur, de lumière, de son. Enfin un tout indescriptible. Où effectivement le corps n’existe plus et par conséquent la fatigue non plus.


Oui, cette nuit là, je l’ai fait et me suis couché à pas d’heure du pays, le cœur léger et l’âme réjouie. Avec cette espèce de rage sourde qui me prends lorsque que je finalise quelque chose dont je suis fier.


Je pouvais me coucher auprès de ma vampiroasa et croiser mes pieds avec les siens en signe de tendresse éternelle.




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